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  • Marc Reisinger

Un vaccin politique

Dernière mise à jour : 15 juin 2023

Marc Reisinger, 23/9/2021


La non-remontée systématique des effets indésirables – y compris les décès – des vaccins covid montre qu’il s’agit d’un système organisé. Le fait que la Belgique ne déclare que 13% (France 16%) des effets indésirables relevés en Hollande donne la mesure du problème. Ce qui signifie que près de 90% des effets indésirables sont dissimulés.


Il s’agit de pousser les gens à se faire vacciner par tous les moyens, y compris la négation de ces effets secondaires. Tout le monde doit y passer, peu importent les dégâts individuels, sans compter les dégâts psychologiques dus à la pression vaccinale.


Je ne pense pas que ceux qui entretiennent ce système souhaitent que les gens meurent, mais ils s’en fichent manifestement. Ça ne compte pas par rapport à une Cause. Une Cause complexe, pas génocidaire comme certains l’imaginent, Reiner Fuellmich par exemple et ceux qui pensent que le Great Reset inclut un génocide. Je préfère chercher des explications dans le réel plutôt que dans un fantasme.


Néanmoins s’il s’agissait d’un vaccin normal, il serait administré avec la prudence requise. Ce vaccin est plus politique que médical. Il est destiné à effacer un faisceau d’erreurs qui ont mené à sa promotion, mais il ne fait que les aggraver.


Tentative d’inventaire de ces erreurs :


1) Recherche scientifique téméraire sur les « gains de fonction », c’est-à-dire la combinaison artificielle de virus respiratoire peu enclins à infecter l’homme avec des virus auxquels nous sommes très réceptifs débutant dans les années 2000.


2) Lorsque l’administration Obama, puis Trump, ont imposé en 2014 un moratoire sur ces recherches aux Etats-Unis, elles ont été délocalisées secrètement en Chine, avec l’appui de fonds américains. Ceci grâce à Anthony Fauci, qui reste un des grands responsables de la santé de Biden.


3) La contamination accidentelle de membres du personnel du laboratoire de Wuhan et l’épidémie de Covid-19 qui a débuté en Chine à l’automne 2019, ont été dissimulés avec la complicité des autorités occidentales.


4) Cet accident a déclenché une panique des milieux informés et une démission du monde médical, attendant le vaccin salvateur : effacement de la médecine de première ligne, interdiction de médicaments utiles, affolement des hôpitaux, rationnement des tests, confinement aveugle, élimination des personnes âgées, négligence puis imposition des masques…


5) Les recherches sur le vaccin qui ont débuté avant la pandémie ont entraîné l’élimination des traitements susceptibles d’empêcher la commercialisation du vaccin.


6) Fanatisme vaccinal. Dissimulation systématique des effets indésirables et censure de tous les témoignages sur ceux-ci.


Lorsqu’un consensus se développe autour d’une "grande Cause" – même si elle ne tient pas debout, comme le « changement climatique » – ce consensus devient une source de profits considérables. Les intérêts politiques et financiers se combinent pour effacer tout scrupule moral.

Telle est mon interprétation du totalitarisme vaccinal qui s’aggrave de jour en jour.

(Source du graphique : Christophe de Brouwer)



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