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Le "dérèglement climatique" n'est qu'un dérèglement mental

Marc Reisinger

Dernière mise à jour : 2 sept. 2024

Le réchauffement n'est pas dû à l'activité humaine : le GIEC le dissimule par un tour de passe-passe


Toute l’arnaque du réchauffement d’origine humaine apparaît dans le premier graphique ci-dessous. L'atmosphère est un système ouvert (sur l'espace) dont la température dépend de la différence entre les entrées et les sorties de chaleur.


Les flux entrants et sortants sont mesurés par la NASA, dont le CERES (Clouds and the Earth’s Radiant Energy System) fournit des données satellitaires de pointe sur le rayonnement solaire réfléchi et le rayonnement thermique émis par la Terre, ainsi que sur plusieurs paramètres des nuages, depuis près de 25 ans.


La courbe du haut du premier graphique (Global Outgoing LW Radiation Anomaly) mesure l’évolution sur 18 ans de la chaleur provenant de la Terre et quittant l’atmosphère (LW ou Long Waves : radiations infrarouges).


Les gaz à effet de serre (CO2, méthane…) retiennent dans l’atmosphère une partie de la chaleur émise par la Terre. Or on voit sur cette courbe que la chaleur quittant l’atmosphère a tendance à augmenter depuis 20 ans (ligne pointillée), ce qui est contraire à l'idée de l'accroissement de l'effet de serre qui domine notre vie économique, sociale et personnelle (du bilan carbone aux pets de vaches).


Pour dissimuler ce fait embarrassant pour l’idéologie dominante, le GIEC (Rapport IPCC AR6, 2021) a inversé les données de la NASA (dans la courbe du bas), ce qui donne l'impression que le flux thermique sortant de l’atmosphère diminue. Un petit tour de passe-passe consistant à placer, dans le codage informatique, UN SIGNE MOINS devant les données brutes du CERES (vous trouverez la page de code dans l'article cité plus bas). Pas plus compliqué que ça…



L'atmosphère se réchauffe effectivement, mais ce réchauffement (confirmé par mesures satellitaires), est dû à une diminution de la chaleur solaire reflétée hors de l’atmosphère par les nuages, donc à une pénétration plus importante de chaleur solaire dans l’atmosphère. Ce phénomène est établi par le graphique suivant (Global Reflected Solar Radiation Anomaly), qui a aussi été inversé par le GIEC (ce qui donne l'impression que moins de chaleur entre dans l'atmosphère).



Le réchauffement climatique n'est donc pas dû à une rétention de chaleur dans l'atmosphère par effet de serre, puisque celui-ci diminue depuis 20 ans, mais à une pénétration plus grande de la chaleur solaire. Le réchauffement n’est pas dû à l’activité humaine, mais à l’activité solaire, ou plus exactement à la diminution de la couche de nuages renvoyant la chaleur solaire hors de l’atmosphère. Diminution qui explique également la moindre rétention de la chaleur dans l'atmosphère, car l'effet de serre est essentiellement lié aux nuages. CO2 et méthane c'est du pipeau, comme je l'explique dans cet autre post:


Et si vous doutez de ma parole, écoutez John Clauser, prix Nobel de physique 2022:


La dramatisation du "dérèglement climatique" et l'indispensable "transition énergétique" sont des fantasmes dérivant du mythe du réchauffement d'origine humaine lié au CO2. Le dérèglement climatique n'est qu'un dérèglement mental. Combien de temps faudra-t-il pour nous libérer de ce mythe contemporain ?


Le Diable est dans les détails. Ce petit signe moins ajouté par le GIEC, illustrant la force de la négativité, engendre le malheur du monde et une culpabilité délirante. Malheur qui est la vache à lait d'ONG recrutant une nuée de professionnels sans véritables compétences.


La démonstration détaillée de cette arnaque se trouve dans l’article suivant :


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