Covidisme et nazisme
- Marc Reisinger
- il y a 1 jour
- 2 min de lecture
4 mai 2022
« Vous ne pouvez pas comparer Covid et racisme !»
Ben si, je peux, car il existe des aspects communs aux deux phénomènes. On ne compare pas des choses identiques, mais des choses différentes qui se ressemblent: une pomme et une poire, par exemple, contrairement aux idées reçues.
En 1935, les lois de Nuremberg ont institué la discrimination des juifs, pratiquée déjà depuis 1933. Il ne s’agissait pas encore du génocide, qui débutera 8 ans plus tard.
Le premier point de comparaison est l’acceptation générale de ces lois : les Allemands ne s’en indignaient pas. Pas plus que la majorité de la population et du système médiatique actuel ne s’indignent des lois Covid. De ce point de vue, la situation est pire aujourd’hui, puisque l’Angleterre ou les Etats-Unis condamnaient fermement Nuremberg, tandis qu’une unanimité mondiale règne sur les lois Covid.
Le deuxième point c’est la discrimination instaurée par les lois Covid : exclusion des non-vaccinés du travail, des loisirs, des voyages, sanctions diverses.
Le troisième point, c’est la progression sournoise des mesures de contrôle discriminatoires : instauration d’un passe sanitaire européen, prolongation indéfinie du passe covid, inauguration d’un contrôle social à la chinoise dans des villes comme Bologne et Rome, par exemple, où les citoyens vertueux seront récompensés et les autres sanctionnés.
Le quatrième point légitimant la comparaison ce sont les conséquences mortifères de la contrainte vaccinale, dont les effets indésirables deviennent de plus en plus flagrants, malgré la volonté officielle de balayer la poussière sous le tapis. L'expérimentation humaine, condamnée au procès des médecins de Nuremberg en 1947, est passée au top de nos valeurs.
A ce stade, il faut donc avoir la même inquiétude sur des lois qui écrasent une partie de la population et deviennent progressivement criminelles, qu’elles soient instaurées au nom de la santé publique ou du racisme - qui était d’ailleurs conçu par les nazis comme une manière de protéger la santé de la population.
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