Marc Reisinger, 7 février 2023
Nous disposons aujourd’hui des documents nécessaires pour reconstituer « le crime vaccinal ». Le péché originel du vaccin covid se trouve dans les premiers résultats transmis par Pfizer à la FDA, pour obtenir une mise sur le marché urgente de son « vaccin » covid.
Dans ces documents, rendus aujourd’hui publics sur ordre d’un juge américain, un tableau clé (voir ci-dessous) : en le manipulant scandaleusement, on peut dire que le risque de mortalité par covid a été réduit de 100% chez les vaccinés, puisqu’il y avait 1 mort du covid sur 22.000 vaccinés, contre 2 morts chez les non-vaccinés (2 = 100% de plus que 1). Victoire ! Sauf que la mortalité GLOBALE du groupe vacciné était de 42% supérieure à celle des non-vaccinés (surtout par arrêt cardiaque).
N’importe quelle étude aurait été stoppée à ce stade et le “vaccin” oublié. Pfizer a, au contraire, annoncé un résultat triomphal et arrêté prématurément, après 6 mois, l’étude qui devait durer 2 ans. En outre le « vaccin » a été administré à tous les membres du groupe placebo, ce qui masquait toute séquelle ultérieure du vaccin, puisqu’il devenait impossible de comparer les deux groupes. Ni vu, ni connu…
Comment Pfizer a-t-il pu se permettre ce comportement, et pourquoi la FDA l’a-t-elle accepté ? Parce que l’armée US poussait chacun à avancer, dans le cadre du projet militaire Warp Speed, qui faisait du “vaccin” une mesure d’urgence de la pseudo-guerre au virus, dispensée de toutes les précautions usuelles en matière de médicaments (études animales préalables, consentement éclairé des patients…).
Terrible conjonction d’intérêts (ou de désintérêt). L’armée se fiche des risques et des morts. Produire des morts est son métier après tout, sa raison de vivre. Il suffit d’en dissimuler les causes, comme dans toute guerre : le responsable c’est l’ennemi, soit le virus. Economiquement, l’armée est un organisme parasitaire, qui ne produit rien. Pour soutenir sa structure, il lui faut sans cesse gonfler son importance et ses budgets.
Les labos pharmaceutiques se fichent aussi des morts, du moment qu’ils font des super-profits et sont dégagés par l’Etat de toute responsabilité pénale ou civile. Des investisseurs, comme Bill Gates, dont les capitaux « lubrifient » le système, en profitent aussi royalement. Le patron de la santé depuis 50 ans, Anthony Fauci, augmente aussi ses budgets, lui qui influence les autorités de régulation (FDA, CDC, OMS), qui constituent des passerelles vers des emplois juteux dans l’industrie pharmaceutique.
Il ne reste plus qu’à s’assurer le silence du corps médical et des médias. Des revues médicales financées par l’industrie publient des articles biaisés ou même complètement trafiqués – comme cette fameuse étude contre la chloroquine à partir d’une base de données fictive – donnant un alibi intellectuel aux médecins de base, qui n’ont pas le temps d’être trop curieux, tandis que les médecins influents sont aidés dans leur carrière, d’une manière ou d’une autre. Quant aux médias, ils dépendent de trois agences de presse internationales qui leur fournissent une info prédigérée, à laquelle ils ne comprennent rien.
Tout est donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, sauf pour les malades et les morts… fort heureusement réduits au silence.

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